Juste un petit coup de gueule, tout ce qu’il y a de plus sympathique, envers France Télécom (ou Orange, je ne sais jamais).

J’ai demandé à ne plus recevoir mes factures sur papier histoire de faire économiser un peu d’argent à cette pauvre société France Télécom et, au passage, faire en sorte que moins d’arbres soient coupé. Je ne pense pas que ça changera grand chose aux arbres, mais au moins, FT achètera moins de papier et ne payera pas de frais supplémentaire à La Poste (cette dernière va licencier du coup…).

Je reçois donc un mail m’indiquant de me rendre sur mon compte client pour voir ma facture. Youpi, je vais voir ça. Mais bon, impossible de me souvenir du mot de passe. Alors, comme je n’ai droit qu’à 3 essais avant d’être bloqué, je demande tout de suite un nouveau mot de passe. Je reçois un nouveau mail… Vide.

En fait, il n’est pas vide ce mail, il contient l’adresse pour se rendre sur une page permettant  le changement de passe. Je fouille donc dans le code html pour trouver l’adresse en question. Je trouve (ouf). Je cours sur mon navigateur préféré et je lance cette adresse. Réponse immédiate : « choisir un nouveau mot de passe : cette action n’est pas autorisée« .

Amusant… Heureusement, il y a une adresse mail qui est indiqué sur cette page en cas de problème. Je l’utilise et je répond, gentiment et poliment, que je ne sais plus comment faire pour obtenir mon mot de passe, en leur (mais à qui au fait ?!) expliquant le cheminement.

Je reçois une réponse dans les 10 min qui suivent : « Vous avez répondu à un mail envoyé par un robot, aucune suite ne sera donnée à votre demande.« 

Hum… ok.. Bon… Heureusement (on y croît), il y a un lien sur ce mail en cas de problème (pouf pouf…). J’y vais donc de ce pas. Mais je me retrouve devant une page 404… Il y a évidement un lien mail en cas de problème, mais je n’abuserais pas plus longtemps de l’hospitalité de cette société.

Je commence à regretter amèrement les factures papier, le minitel et les emplois perdus de La Poste.

J’en arrive à ma conclusion : quand on ne sait pas, on ne fait pas.